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Pour­quoi C’est De­venu Com­pli­qué De Nouer Des Re­la­tions So­lides Et Du­rables ?

Tu as ce sen­ti­ment de so­li­tude qui t’an­goisse, tu as dif­fi­cile de faire confiance aux autres, une peur du re­jet t’en­va­his, la ges­tion de tes dif­fi­cul­tés au quo­ti­dien te pèse for­te­ment car com­battre ces pro­blèmes te fa­tigue, tu res­sens de plus en plus de grosses dif­fi­cul­tés à te conte­nir, par­fois tu es au bord des larmes, tu sou­hai­te­rais être beau­coup plus ac­cep­ter des autres pour ce que tu es.

À l’heure ac­tuelle l’en­vie de se faire res­pec­ter et d’être consi­déré est un be­soin pri­mor­dial dont tu as be­soin pour te dé­ve­lop­per so­cia­le­ment. Tu res­sens le be­soin d’avoir des re­la­tions riche qui contri­bue à ton bon­heur, mais le manque d’amour de soi et de confiance en soi de­vient de plus en plus dif­fi­cile est l’élé­ment qui en­trave ta li­bé­ra­tion, et cela à cause du mé­pris et du re­jet que l’on su­bit. Cela nous em­pêche de nous ai­der nous-mêmes lorsque nous ren­con­trons des épreuves, de plus nous res­sen­tons de l’in­com­pré­hen­sion face à ce que nous en­du­rons.



Ce qui nous fait nous rendre compte da­van­tage que dans le fond nous sommes seuls. Sois at­ten­tif à ce qui va suivre car tu au­ras les codes se­crets pour te li­bé­rer dé­fi­ni­ti­ve­ment du sen­ti­ment de so­li­tude de vie qui en­trave une par­tie fon­da­men­tale de ton bon­heur. Et c’est d’ailleurs pour ça que nous al­lons nous po­ser cer­taines ques­tions no­tam­ment celle-ci:

Pour­quoi as-tu ce res­senti de so­li­tude et pour quelle rai­son tu es seule ?


L’énigme de l’humain


Nous n’al­lons pas tour­ner au­tour du pot bien long­temps, nous al­lons dire ce qu’il faut en­tendre et non ce que l’on a en­vie d’en­tendre. L’être hu­main vit dans l’in­com­pré­hen­sion to­tale, au­jour­d’hui peu de gens ar­rivent à se com­prendre d’abord eux même. Par exemple lors­qu’une épreuve sur­vient au quo­ti­dien. Le pre­mier ré­flexe est de se fo­ca­li­ser et de s’ac­ca­pa­rer sur ce pro­blème. Nous ru­mi­nons Le sen­ti­ment de né­ga­ti­vité par rap­port à cette dif­fi­culté qui ar­rive dans la vie. `

De ma­nière gé­né­rale on ne cherche plus à ré­soudre ce pro­blème, mais juste à pen­ser à la fa­cette né­ga­tive de ce pro­blème. C’est pour cela que beau­coup vivent dans le passé. Et d’autres consi­dèrent ce qui s’est dé­roulé comme une ex­pé­rience de vie qui les ont en­dur­cis, uni­que­ment parce qu’ils consi­dèrent qu’ils ont en­duré cette épreuve.

Mais qu’en est-il de la réa­lité et de l’en­vers du dé­cor ?

La vé­rité est que le res­senti né­ga­tif qui a dé­truit ou qui a causé de la dou­leur n’a pas dis­paru. La ma­jo­rité des gens ont at­tendu pen­dant une cer­taine pé­riode de temps, jus­qu’à ce que les pen­sées en lien avec cet état de né­ga­ti­vité se dis­sipent ne fût-ce qu’un tout pe­tit peu. Donc les per­sonnes ne com­battent pas réel­le­ment le pro­blème, il laisse la dou­leur s’en al­ler comme les vagues de la mer. Sur­tout que les per­sonnes ne dé­montrent au­cune once ou en­vie po­ten­tiel de ré­gler le pro­blème, voire même de cher­cher l’op­por­tu­nité qui se cache der­rière ce qui les ont frap­pés.

Il faut que tu saches qu’il y a une loi, ap­pe­lée la loi de la po­la­rité qui dit que toute chose ou toutes cir­cons­tances ne peut exis­ter tant qu’il n’y a pas son iden­tiques op­po­sés. Rien dans l’uni­vers ne peut exis­ter si ce qui lui est contraire existe aussi. C’est une loi tout comme la gra­vité, que tu y croies ou non, ou que tu l’ac­cepte ou pas, une loi est bel et bien pré­sente et tu ne peux pas chan­ger son fonc­tion­ne­ment. Donc ce­lui qui cherche à se com­prendre lui-même est en train de ré­gler la fo­ca­li­sa­tion de son es­prit vers ce qu’il peut ar­ran­ger et ce qu’il maî­trise, cette per­sonne aura déjà ac­com­pli 70 % du tra­vail.


La raison de la difficulté intérieure


Tu as bien vu que si tu ne sais pas être ton propre ami et tu ne t’aimes pas toi-même tu ne sau­ras ja­mais être l’ami de qui que ce soit d’autre et de pou­voir ai­mer les autres.

Une autre loi uni­ver­selle dis :

” On récolte ce que l’on sème”.

Sème le res­pect tu ré­col­te­ras le res­pect, Sème le par­tage et tu ré­col­te­ras des dons, sème l’amour propre et tout ton en­vi­ron­ne­ment t’ai­me­ras. Main­te­nant comme on le pro­nonce sou­vent, c’est plus fa­cile à dire qu’à faire. Mais sache une chose, si au fond de toi tu cherches réel­le­ment à chan­ger ta si­tua­tion tu fe­ras ne fût-ce qu’un mi­ni­mum d’ef­forts pour que cela ar­rive.

Par exemple on ne va pas te de­man­der de faire énor­mé­ment d’ef­forts du jour au len­de­main. Mais si chaque jour tu ap­prends à re­gar­der ce que tu pos­sèdes ou ce qui s’est passé de bien dans ta jour­née, en­suite une fois le soir venu avant de te cou­cher tu te fo­ca­lise sur cette belle chose et que tu prends le temps de sou­rire et d’avoir de la gra­ti­tude ou de la joie pour cet élé­ment, cela dé­mon­trera ton en­ga­ge­ment à vou­loir être une per­sonne heu­reuse. Pour com­prendre le pro­blème d’épa­nouis­se­ment de 97 % des per­sonnes au­jour­d’hui, té­lé­charge ton pod­cast gra­tui­te­ment qui se trouve à la fin de cet ar­ticle.

Main­te­nant d’un autre côté, nous cher­chons à com­bler notre sen­ti­ment de so­li­tude et de vide à tra­vers les autres. Donc ce qui se passe c’est que nous avons ten­dance à je­ter ra­pi­de­ment notre confiance en­vers des per­sonnes qui n’en valent pas for­cé­ment la peine. Et lorsque nous en ren­dons compte de notre er­reur, il est en gé­né­ral trop tard car les dé­gâts émo­tion­nels qui furent causé, on fait lon­gue­ment le che­min dans ton cœur.

Donc si tu cherches à ai­der les autres avant de t’ai­der toi-même, tu cherches en réa­lité à com­bler ton vide qui ac­cen­tue ton sen­ti­ment de so­li­tude. Ne cherche plus à plaire aux autres en prio­rité, re­dé­couvre toi toi-même en pre­nant plai­sir lorsque tu es seule. Pour com­men­cer à faire cela ne re­garde plus la vie des autres comme étant meilleur que la tienne, ou ne te fo­ca­lise plus sur un pro­blème que tu ne peux ré­soudre. Du coup une ques­tion se pose, com­ment pro­cé­der concrè­te­ment à l’éla­bo­ra­tion d’un plan qui ga­ran­tit un suc­cès ?


Le plan détaillé du succès


Com­mence tout d’abord par écou­ter les per­sonnes qui ont les ré­sul­tats que tu veux dans ta vie, ar­rête et cesse d’écou­ter les per­sonnes qui sont au même stade que toi ou qui ne sont pas là où tu veux être. Même si ces per­sonnes sont pleines de bonnes in­ten­tions, elles ne pour­ront ja­mais t’ai­der concrè­te­ment parce qu’elles même non pas les ré­sul­tats sou­hai­tés. Par exemple si tu veux être en bonne santé phy­sique, tu écou­te­ras les conseils d’un ex­pert, d’un coach, d’une per­sonne qui a déjà ac­com­pli un bout de che­min vers le ré­sul­tat orienté que tu dé­sires.

Mal­heu­reu­se­ment les per­sonnes que tu as tou­jours écouté au quo­ti­dien et que tu écoutes tou­jours au­jour­d’hui sont peut-être des per­sonnes en­vers qui tu es at­ta­ché, mais la réa­lité c’est qu’elles ne sont au­cu­ne­ment de bon conseil. Suivre ce prin­cipe est un mo­dèle uni­ver­sel à suivre dans tous do­maines de la vie, tu res­pectes juste ce mo­dèle pré­cis, tu au­ras ac­com­pli 50 % du tra­vail sur toi-même.

Un pro­verbe dit:

” Si l’on ne connaît pas précisément la situation de celui qui demande conseil, on risque de lui fournir une réponse qui le laissera encore plus indécis.”

Main­te­nant tu l’as com­pris cherche uni­que­ment l’avis des ex­perts. La se­conde étape est de cher­cher à te for­mer, c’est l’in­dice qui dé­ter­mi­nera ta vo­lonté d’ac­cep­ter le chan­ge­ment dans ta vie. on ap­pelle ça l’édu­ca­tion de ton es­prit, car toutes les per­sonnes qui ont leur es­prit fo­ca­li­ser vers les prin­cipes de réus­site et un do­maine dans le­quel on sou­haite ob­te­nir du suc­cès que ce soit sur le plan fi­nan­cier, amou­reux ou re­la­tion­nel, C’est une per­sonne qui a com­pris com­ment dé­ve­lop­per et culti­ver la joie et l’épa­nouis­se­ment vé­ri­table.

Pour cela achète des livres, va dans des sé­mi­naires, achète des for­ma­tions, crée toi des op­por­tu­ni­tés so­cial pour faire des ren­contres fa­vo­rable. Fais des ac­ti­vi­tés qui te pas­sionnent, éduque ton es­prit que ce soit de ma­nière in­tel­lec­tuelle ou spi­ri­tuelle. Une fois que ces choses se­ront ac­com­plies, tu ver­ras des choses ma­giques se pas­ser dans ta vie, de nou­velles ren­contres, de nou­velles op­por­tu­ni­tés. Sur­tout tu se­ras com­blé, et une fois que tu es com­blé de l’in­té­rieur toute chose et j’ai bien dit toutes choses de ma­nière ab­so­lue vien­dront à toi de ma­nière plus ai­sée et na­tu­rel. Tu ne res­sen­ti­ras plus ja­mais ce sen­ti­ment d’iso­le­ment ou de so­li­tude, tu se­ras un bon conseiller pour les per­sonnes au­tour de toi, une per­sonne que tout le monde dé­si­re­rais avoir dans sa vie.

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