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Les 3 In­con­vé­nients De l’Exis­tence Me­née De­puis Ta Tendre En­fance



Tu souffres en­core au­jour­d’hui de tes dou­leurs qui re­montent à ton passé vécu, tu as dif­fi­cile à sur­mon­ter cer­taines in­jus­tice ou bles­sure que tu as subi au cours de ta vie, ce ba­gage émo­tion­nel t’em­pêche d’avan­cer au mieux dans la vie, tu as peut-être même du mal à gé­rer tes émo­tions.

Tu conti­nues à avan­cer dans la vie et mon­trer aux yeux de tous que tu vas bien, mais par­fois à l’in­té­rieur de toi c’est une tem­pête constante. Lorsque tu te re­trouves seul, tu res­sens le be­soin d’échap­per et de t’éva­der de tes sou­cis. Sur­tout tu te de­mandes :

« Qu’ai-je fait pour mériter cela? »

À l’heure ac­tuelle de plus en plus de per­sonnes sont en­fuis dans leur pro­blème et tente de com­battre leur propre bles­sure à leur fa­çon. Cer­tains pensent qu’il faut lais­ser faire le temps, et que l’on fi­nira par ou­blier tôt ou tard. Pour d’autres cela est in­sup­por­table et ils se ré­fu­gient dans l’al­cool, les ex­cès de table, les drogues ou même une forte dé­pen­dance à la mas­tur­ba­tion.

Nous vi­vons tous avec ce be­soin in­time de re­cher­cher notre propre bon­heur, main­te­nant il est dif­fi­cile de le re­cher­cher à par­tir du mo­ment où les dif­fi­cul­tés de la vie sur­viennent et nous em­pêchent de cher­cher notre bon­heur. Tu au­ras ac­cès à des in­for­ma­tions ca­pi­tales pour per­ce­voir les pistes qui vont t’ai­der à trou­ver le vrai épa­nouis­se­ment et une li­bé­ra­tion émo­tion­nelle à tra­vers cette œuvre qui va être dé­li­vrées per­son­nel­le­ment.


1er Inconvénient : La raison de « nos malheurs »


La vie est semé d’em­bûches et l’on consi­dère chan­ceux ceux qui conservent leur vi­ta­lité, leur éner­gie et trans­pirent le suc­cès. En réa­lité ces per­sonnes sont tout comme toi, elles ont eu leur coup bas, des évé­ne­ments dif­fi­ciles les ont frappé, tel qu’une rup­ture, une tra­hi­son, la perte d’un proche, du mé­pris et du re­jet de la part des autres, l’in­jus­tice, le manque de res­pect et la mal­trai­tance.

Main­te­nant qu’est-ce qui fait que ces per­sonnes ar­rivent à vivre plei­ne­ment dans l’épa­nouis­se­ment et pas seule­ment d’ap­pa­rence ? C’est une grande ques­tion qui mé­rite une at­ten­tion par­ti­cu­lière. Mais il faut d’abord ob­ser­ver la rai­son de toute cette in­jus­tice.

Il faut sa­voir que nous vi­vons dans une so­ciété où les en­vies et le dé­sir égoïste prime sur les in­té­rêts d’un groupe. On peut consta­ter que lorsque nous sommes avec plu­sieurs per­sonnes, chaque idée émise même au sein du groupe, même si d’ap­pa­rence elle donne un point de vue sur un but com­mun à at­teindre, l’idée émise au sein de ce groupe n’est autre que la vi­sion sou­hai­tée de ce­lui qui l’a pro­posé.

De plus nous n’avons pas la ca­pa­cité de lire dans les cœurs et connaître les in­ten­tions de cha­cun. Cer­tains sont prêts à ma­ni­pu­ler pour par­ve­nir à leurs fins dans une dis­cus­sion ou un dé­bat. Ce cas se re­trouve sou­vent dans les re­la­tions amou­reuses de ma­nière plus ac­cen­tuée.

Si nous pre­nons le cas d’Adolf Hit­ler qui fut au pou­voir du­rant la deuxième guerre mon­diale pour l’état al­le­mand, ses in­ten­tions n’étaient pas per­cep­tibles. Mais il a uti­lisé des ar­gu­ments qui ar­rangent la po­pu­la­tion afin de ti­rer un bé­né­fice et ac­qué­rir du pou­voir. Beau­coup de po­li­ti­ciens agissent de la même ma­nière, mais de ma­nière glo­bale de plus en plus de gens pro­cède de la même ma­nière sans s’en rendre compte pour ac­qué­rir ce qu’ils dé­si­rent au plus pro­fond de leur cœur.

Car ce sont des at­ti­tudes qui se sont an­crées dans ces per­son­nages toxiques. Donc nous souf­frons tout d’abord parce que nous sommes dans un en­vi­ron­ne­ment qui n’est pas fa­vo­rable à notre épa­nouis­se­ment. Si tu com­mences par mo­di­fier ton en­tou­rage et l’en­vi­ron­ne­ment dans le­quel tu te trouves, tu au­ras en­tamé le pre­mier pas de ta gué­ri­son in­té­rieur. Alors une autre ques­tion se pose: quel est le se­cond pas à exé­cu­ter pour une meilleure gué­ri­son ? Avant de ré­pondre à cela je t’in­vite à té­lé­char­ger ton pod­cast té­lé­char­geable gra­tui­te­ment en fin d’ar­ticle pour com­prendre le pro­blème d’épa­nouis­se­ment des 97 % des per­sonnes au­jour­d’hui.


2ème inconvénients : L’incapacité à voir le monde tel qu’il est.


Même si tu changes d’en­vi­ron­ne­ment, cela ne suf­fit pas pour au­tant. Il faut tout d’abord que tu saches que nous sommes des êtres hu­mains qui avons des émo­tions. Et une émo­tion ne prend forme qu’à par­tir du mo­ment où tu dé­cides de mettre ton éner­gie vers un sen­ti­ment pré­cis. Et si ce sen­ti­ment pré­cis de­vient ré­pé­ti­tif, il for­gera ta ma­nière de pen­ser, puis par la suite cette ma­nière de pen­ser de­vien­dra une par­tie in­té­grante de ta per­son­na­lité.

Donc la per­sonne que tu es au­jour­d’hui a été for­gée en fonc­tion de son ba­gage émo­tion­nel, qui fut in­fluencé par ton en­vi­ron­ne­ment. Mais c’est sur­tout ta ma­nière d’agir face à toutes ces vagues de sen­ti­ments qui ont dé­ter­miné si tu al­lais conser­ver ou non cette at­ti­tude. Si par exemple tu conti­nues à agir de la même fa­çon lorsque tu res­sens une cer­taine émo­tion, alors tu es en train d’en­voyer l’ordre à ta per­sonne in­té­rieur d’adop­ter cette at­ti­tude. Tan­dis que si tu ré­agis dif­fé­rem­ment que d’ha­bi­tude de ma­nière ré­pé­ti­tive, tu en­voies en­core une fois un autre type d’ordre in­té­rieur à adop­ter.

En gé­né­ral quel­qu’un qui s’en­ferme dans les sub­stances ou comme cité pré­cé­dem­ment dans les ex­cès de table et la bois­son, ce n’est d’autre qu’un re­fuge tem­po­raire pour fuir la si­tua­tion qui te fais souf­frir. Par exemple, on a constaté que les per­sonnes qui s’en­fuient dans la bois­son étaient gé­né­ra­le­ment des per­sonnes qui furent bat­tues et vio­len­tées par un pa­rent agres­sif. Par­fois même les per­sonnes qui font des ex­cès quant à la consom­ma­tion de bois­sons ce sont des per­sonnes qui ont été vic­time d’un re­jet so­cial de­puis la tendre en­fance.

Ils ont été mis à l’écart voire même que l’on a pro­fité de la bonté et de l’ama­bi­lité de ces per­sonnes. Pour d’autres per­sonnes la dé­pen­dance af­fec­tive, lors­qu’elle se met dans une re­la­tion amou­reuse est in­évi­table. Car elle re­cherche à tra­vers le par­te­naire ce be­soin de com­bler un vide ap­pa­rent. Et pour com­bler ce vide, le be­soin constant d’af­fec­tion et d’at­ten­tion peut-être par­fois ex­ces­sif et l’en­vie de se rat­ta­cher à une autre per­sonne en de­vient ma­la­dif.

Toutes ses dé­pen­dances et la re­cherche d’éva­sion à tra­vers ses moyens doivent pro­gres­si­ve­ment di­mi­nuer. Donc cherche à te dé­bar­ras­ser de ces choses qui dé­truisent ton corps pour évi­ter plus de souf­france. Si­non tu rentres dans ce cercle vi­cieux qui te ronge de l’in­té­rieur. Pour en sa­voir plus, ton pod­cast té­lé­char­geable gra­tui­te­ment se trouve à la fin de cet ar­ticle.


3ème raison : Une mauvaise attitude curative du corps et de l’esprit


Tu l’as com­pris l’émo­tion que tu res­sens où le mal-être in­té­rieur peut in­ci­ter la consom­ma­tion ex­ces­sive de choses ou de per­sonnes pour ten­ter de s’éva­der. Comme tu le constates ce ne sont que des moyens d’échap­per à une cer­taine souf­france et ne gué­rit ja­mais le pro­blème en pro­fon­deur. De plus cela t’en­fonce en­core plus dans ta si­tua­tion, car une per­sonne qui a conscience de la dé­gra­da­tion de son corps, ren­force ses croyances que le monde va en­core plus mal. Car le mau­vais état de santé ren­ferme une per­sonne dans ses idées noires qu’elle a déjà à la base. Alors s’en­chaîne une spi­rale qui t’en­traîne en­core plus dans cette des­truc­tion de l’in­té­rieur.

Le roi Sa­lo­mon a dit:

” L’influence des drogues sur la santé du corps a le même rapport que les paroles sur l’esprit d’un auditeur”.

Donc com­mence à t’en­tou­rer de per­sonnes qui te tirent vers le haut, car les pa­roles d’une per­sonne sage t’em­mè­ne­ront vers la gué­ri­son et t’in­fluen­ce­ront dans le sens po­si­tif. Comme vu pré­cé­dem­ment, le vrai chan­ge­ment com­mence par ton en­vi­ron­ne­ment. En­suite, iden­ti­fie les sources qui causent du tort à ton propre corps, car un corps ma­lade dé­truit aussi l’es­prit sur le long terme et in­ver­se­ment. Sur­tout cherche toi constam­ment, cours après ton épa­nouis­se­ment, sur les choses qui te font vi­brer, trouve-toi une pas­sion, es­saie de nou­velles choses et ré­ap­prend les fa­cul­tés so­ciales.

Concentre-toi sur toi-même et ac­cepte les choses comme elles sont ex­té­rieu­re­ment et au­tour de toi. Pro­fite des évè­ne­ments qui viennent à toi, comme des ex­pé­riences construc­tives et non comme ex­pé­rience des­truc­tive. Car n’ou­blie pas une chose : c’est ta per­cep­tion de l’évé­ne­ment qui sur­vient et ton at­ti­tude face à elle qui dé­ter­mi­nera pe­tit à pe­tit ta per­son­na­lité qui fera de toi une per­sonne à suc­cès ou bien une per­sonne qui connaî­tra l’échec de vie.

Un pro­verbe dit:

” La haine est un refuge pour ceux qui fuient leurs souffrances ou mal-être”.

En d’autres termes ce­lui qui dé­truit sa per­sonne in­té­rieur en res­tant blo­qué sur ses idées noires en res­sas­sant les dou­leurs du passé, ce sont des per­sonnes qui ma­ni­festent de l’ani­mo­sité et de la haine en­vers eux même. Ceci est une preuve d’un manque d’amour en­vers soi-même qui cause cela. Cherche alors le vé­ri­table amour in­té­rieur et ta vie chan­gera dé­fi­ni­ti­ve­ment.

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